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Plan Kult'

Les galeries Kult’

La rédaction vous emmène découvrir les plus belles galeries de Nice. | ©Pixabay

Non, non, non, les galeries ne sont pas que pour les vieux. Pour vous le prouver, on vous en a dégoté cinq ! Ça serait presque mieux qu’un musée, puisqu’on peut acheter une œuvre ou seulement s’évader entre les expositions. Et, souvent ça nous permet de découvrir un artiste… ou un mouvement. En gros, il y a tout pour attirer l’œil !

La GCA Gallery

Peut-être pas aussi grande que le MAMAC, mais dans ses deux salles, des œuvres de notre époque sont exposées. Située au 16 bis rue Catherine Ségurane, on y trouve des tableaux, des tags et même des sculptures. Tout ça avec une touche populaire. La diversité, mais surtout l’agencement du local vaut le détour pour se poser en face d’une œuvre ou sur un canap’ pour contempler.

L’Authentic Nice Gallery

Elle porte bien son nom celle-là ! Dans le quartier du Port, (36 rue Catherine Ségurane), elle expose des artistes du 20° et 21° siècle. Notre style quoi. Et puis, si elle est authentique, c’est surtout pour mettre en lumière les nouveaux talents : ceux de la Côte, mais aussi d’ailleurs. En tout cas, elle prône l’originalité. Ça attire la curiosité, novice comme amateur. Il y a même un service de consulting pour l’investissement artistique et d’organisation d’événements.

La Bemon Arts Galerie

Entourée d’antiquaires, la Bemon Arts a deux casquettes : marchand et galerie. Alors, même si son fondateur apporte son expertise pour l’acquisition d’une œuvre, elle embarque tous les artistes de la région dans son trip. Dans une ambiance bien azuréenne, elle préserve l’héritage de l’Ecole de Nice. En bref, c’est un courant artistique des années 1950. On peut y trouver du Ben comme du Yves Klein et des nouveaux de la scène au 3 Rue Antoine Gautier.

La Galerie Eva Vautier

Elle a 10 ans. Mais Eva Vautier, c’est quelqu’un ! Connue grâce à Ben, elle fait son trou dans cet univers. Pour connaître son histoire, il faut y aller. Derrière Libération (2 rue Vernier), elle rend l’art plus accessible. Des jeunes artistes comme des confirmés exposent. Mais, il y a aussi des événements comme des soirées débats, de la danse, des lectures ou encore des concerts. Comme dirait Guy de Bezbar, ça flingue ! Parce que cette galerie, c’est aussi un lieu de recherche où n’importe quelle créativité est acceptée. Ouverte du mardi au samedi, elle propose des visites.

Circonstance

Sandra Lecoq, Rémi Voche, Ji Min Park… Pssit ! Il n’y a pas que ça. Des collections privées et des jeunes talents sont aussi à voir là-bas. Ce qui veut dire que tout le monde a sa place, mais aussi le format : vidéos, photographies, dessins et même éditions. Et pour l’histoire, le nom de la galerie a été choisi lors d’une conversation entre Florence Farrugia, la fondatrice et son pote artiste Michel Blazy. Comme quoi les différents univers artistiques peuvent cohabiter et s’unir au 22 bis boulevard Stalingrad.

Fraîchement publiés

Une réponse

  1. J’habite dans le vieux Nice et je connais rien de tout ça, faudrait peut-être que je me lève de mon canapé…

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